Ce survol de présentation des peuples vous est présenté dans son grand choix, sachez après avoir visionné le trombinoscope que vous pouvez choisir un nouveau clan dans chaque faction présente, ou alors rejoindre celle ou celles en présence...
Les baronnies de Grasconnerie
Monarchie bonne-enfant composée de vieilles familles nobliardes terriennes. Les Grascons traditionnellement hauts en couleurs, aiment par dessus tout les joutes sanguines ou résoudre les conflits par un bon petit duel. Pays de fêtes cocardes, de maris jaloux et la plupart cocus, de bagarres épiques et de vins lourds et capiteux, c’est autour de gigantesques ports maritimes comme ceux de Biscarotte ou du Vieux-Boucan que s’organise, en grande partie, la vie pécuniaire des Grascons.
Les Saintes familles de Calabrese
Ensemble complexe de familles regroupées autour d’un patriarche omnipotent, la Calabrese est surtout connu pour ses mauvais garçons, bandits de grands chemins, vieux boucaniers, et assassins de renom. L’essentiel de leurs revenus vient de nombreuses taxes (Comprenez rançons et rackets ) perçues du Levant au Ponant. Ne sous-estimez jamais un Calabrese, même d’accent modeste, ce peut être un membre ou un chef de famille nombreuse.
Comtats de Piementerie :
Pays de commerçants aventureux, et parfois richissimes, la Piementerie est le pays des rêves de cocagne et désirs de fortune, d’espoirs d’argent facile et d’escapades maritimes lointaines. (hasardeuses et dangereuses.) Il existe des comptoirs piements partout dans les mondes connus et la plupart des objets exotiques transitant dans l’empire est passée dans des mains piementes. Il va sans dire que les rondaches y sont ostentatoirement dépensées sans compter, en palais surchargés, en fêtes raffinées et en intrigues carnavalesques.
Royaume d’Angloisie
Composée de deux îles, l’Angloisie est une zone de guerre permanente, harcelée par le chaos. Il y a deux régions : Le Nord (le front) et le sud, zone d’échanges et où de puissants «négriers» fournissent pièces et main-d’œuvre au front. Il faut être un brave ou un fou pour s’y risquer, c’est d’ailleurs un pèlerinage pour tous les guerriers avides de combats tels que ces bons Drakenlanders. Les gens du cru sont hostiles et taciturnes, tout entier à leur mission: contenir coûte que coûte les veneurs du chaos. Ceci leur faisant oublier leur légendaire combat fratricide entre porteurs de kilts et les autres. La famille des Mac, illustres combattants et forts en gueule, ont à leur tête le sieur Mac Fire, être de légende, les non moins célébres Mac Drac et Mac Free en sont ces seconds, quoique ce dernier préfère les illustrations en taverne pour pousser sa merveilleuse maxime du :"Festoyez, vin, hydromel et sanglier" ....
Les Corax et autres faucons noirs, tout autant guerriers, mais plus discets dans leurs actes et paroles (mais pas dans leurs costumes, sobres mais emplumés). Un représentant des Corax ayant marié la princessse se trouve promu au titre de prince de Crau.
Palatinats unifiés du Drakenland.
Royauté matriarcale, morcelée en multiples clans. Constamment envahi par les morbelins ainsi que par les norshkevitch, peuple barbare du nord vivant avec des loups et des goracks. Autant dire que c’est une zone où tout se passe dans un «vacarme kolossal». Ces paladins et guerriers ne craignent rien si ce n’est deux choses : Ne pas aller au Fallala et la grande voyante vocaliste Bibi. Ils bénéficient pour leurs moultes croisades contre le chaos des meilleurs artisans forgerons du comptoir humain. (Entraînant une rivalité avec les nains qui de surcroît ne supportent pas le fait de servir de ballons lors de leur tournoi de pourrine) (version Draken du troll ball)).
Démocratie de Spartagenie.
Nos lois sont inspirées des écrits Secartiques et il faut être un sage choisi par l’oracle pour pouvoir les représenter. Les Sparts sont, dès leur plus jeune âge, placés dans d’immenses collèges et universités où l’on forme le corps et l’esprit. Il en ressort de terribles guerriers, mercenaires, gladiateurs ou légions aux moeurs toutefois étranges pour ces derniers, ainsi que de nombreux érudits "rats de bibliothèque" ou de monastères du monde connu. Avides de savoir et emplis de sagesse, ils essaient de réunir tous les savoirs passés afin que les hommes ne réitèrent pas les erreurs du passé.
Duché du Dauphinaire :
Grande terre agricole, c’est ici que se trouvent les greniers céréaliers de l’empire. La cite d’Aubignole (la capitale) vit au rythme des aléas historiques de la cité Del Crau, principauté indépendante servant de carrefour commercial quand elle n’est pas envahie par les peaux vertes ou tout être du chaos. La principauté est exemptée d’impôts du fait de sa situation géographique et s’intègre parfaitement au Dauphinaire qui, sans régenter Del Crau, est heureuse de jouir de ce carrefour et de sa milice apte à repousser tout belligérant avant ses propres frontières. Car comme tout monde le sait : "Le temps c’est de l’argent". Et vous ne trouverez point de dauphin qui vous dira le contraire (Un chou, c’est un chou). L’avénement du Baron Jean D’Heskaryll, en tant qu’empereur,avait fait de La bonne cité d’Aubignole la capitale d’empire, ce qui sucita chez les Artesans un sentiment d’amertume et de jalousie. Le baron Julius, déchu de ses titres, appelé le pitre par son propre cousin (l’empereur), est un grand producteur viticole...
Pays libre du Suschenland :
Organisés en fratries souvent consanguines, les Suschenois forment des clans où le chef est avant tout le plus costaud alias le Grand Gro, le chef des Gro et le Grand Gro des Gro. Le suschenois est particulièrement apprécié des armées de l’empire où il vient chercher gloire et cicatrices. Son talent inné pour le « foncer dans le tas en braillant», technique éprouvée à ce jour, et apprécié également par les Drakenlanders, fait de ces gens des hôtes peu compris pour les non-habitués. Forestiers, ils manient aussi bien l’arc, l’arc lourd ou la bonne vieille hache.
Royaume Artesan :
Il y a déjà quelques bouts de lune, l’empereur Theodorus déjà fort affaibli par un âge avancé, a succombé à son parcours pour venir jusqu’en notre bonne cité afin de participer à cette croisade contre les forces obscures. Lilalesia n’est plus capitale d’empire au grand dam des Artesans... Les artesans sont tous de très bons artisans ou artistes, leur capitale, également centre financier, est considérée comme un grand trésor où la création est une manière de vivre, voire une philosophie. Ainsi se côtoient sans élitisme aucun, ménestrels, trouvères, ou troubadours ainsi que comédiens, sculpteurs ou peintres. Les artisanats de précision, fierté locale et lucrative activité, garantissent armement et mécanismes avant-gardistes quoique hasardeux. Le manuscrit du savant ingénieur Tradivarius appelé «Ingénierie des poudres et objets à fumée» aurait été dérobé ainsi que diverses pétoires et engins à explosion! Une enquête est en cours… Leur innocente arrogance culturelle et leur naïveté bien structurée a le don d’agacer la plupart de leurs interlocuteurs.
Hidagueria de Ziberia :
Pays écrasé sous le soleil et d’une pauvreté manifeste, l’essentiel de ses ressources est tenu par une vingtaine de familles de nobles, appelés les « Hidalqerillos ». Le reste de la population est composé de « péons », de petits artisans et d’une vaste petite noblesse composant l’intégralité des troupes régulières. Ces nobles appelés les «petits Hidalguerios», n’ont pour la plupart qu’un titre et leur nom, et en tirent une grande fierté inversement proportionnelle à leurs possessions effectives.
Il y aurait là bas de grans monastéres ou l on apprend autant les lois de dévots comme celles du combat et du pistole!!!
Le peuple Sardaignole:
Dernier peuple à nous avoir rejoint, leur représentant Daffy Pamvire, dit La Tueuse, s’est fait connaitre par son haut bagout commercial, ainsi que par son second, homme de main, conseiller et tout autant plein en couleur, en verbiage, en accent et humour plus que douteux. Leur connaissance dans les poudres et artifices en font de forts alliés de l’empire.
Peuples Nomades :
Il y a aussi de nombreux peuples nomades qui voyagent de par l’empire où ils sont les garants de la liberté de circulation (si chère à nos vagabonds). La plus grande caravane est celle des «Tsigalle», peuple jovial, pour certains, d’origine Rootsmain, distillant folie douce et bonne aventure au gré des rencontres et du vent.
Autres races en présence:
Les Nains
Ils sont issus de toutes contrées et vivent au sein de, et sous nos cités. Une nouvelle royauté s’est installée près de Del Crau, reprenant aux dires de ses représentants les lieux de vie de leurs ancêtres. Nous ne connaissons rien de leurs intentions mais pour le moment ils n’ont provoqué aucune gêne et nous ont débarrassé de la gent elfes noirs. Leur nouveau roi sous la montagne, quoique très bruyant, n’en est pas moins jusqu’à présent allié par traité à la cité et ainsi à l’empire. La mort d’un des siens, ses frasques amoureuses dit on avec une haut elfe...nous fait souci et le mystère plane encore à ce sujet, l’empereur reste inquiet au sujet du futur quant à cette bonne relation...
Les Elfes
Présents dans nos forêts depuis fort longtemps, il en aurait été vu de nouveau, errant dans les forets de châtaigniers alors qu’ils n’avaient donné de trace depuis des lunes. Leurs amis Ents et autres Faëes sont des êtres que nous apprécions, leur aide par le passé en ont fait des hôtes plus que respectés. Le fait que notre princesse, protégée magiquement, nous est apparue depuis peu comme étant demi-Elfe devrait certainement concourir à de plus grandes découvertes et compréhension de ce peuple de lumière et d’érudition.
Les Sylvains et autres Elfes noirs seraient également apparus proches et dans nos cités...
Comté de Rootsmanie :
Durant le banquet de l’empereur, la délégation des plus odieuse a été écartée des féstivités; s’en suivirent moults palabres, et leurs représentants, fâchés, parlèrent au nom de leur peuple et déclarèrent la guerre au Dodécameon. Vladimir Qiapprenvitch, le sombre, aurait été envoyé par Analnafath, un obscur démoniste qui au vu des écrits aurait plus de 30 lunes.
Vieille contrée féodée, couverte de forêts impénétrables sillonnées de quelques rares chemins en état lamentables, qu’il est plutôt déconseillé (voire stupide) d’emprunter. Auréolé d’un certain arrivisme fait de condescendance, de dédain et de culture «rococo». Les nobles se complaisent à fomenter les plus folles rumeurs lors de leurs rares apparitions. Seuls les brouhahas et la cacophonie du petit peuple (qu’ils méprisent tant) calés sur le rythme de leurs passages, arrivent encore à les émoustiller.
Les demi-orques
Fruit du viol des femmes humaines par ces porcs d’orques, ils ne font parti d’aucun clan. Pour l’heure présente ils ont fait alliance avec leurs pères contre nous.
Les orques
Reconnaissables à leur peau verte, à éliminer sans merci.
--Message édité par le 25-02-08 à 16:54:14--
--Message édité par le 17-03-08 à 09:05:28--
passionément z...le moment des etres de la forêt arrive à grands pas :p
